Overblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

 

http://www.decitre.fr/gi/52/9782702141052FS.gifhttp://www.images.hachette-livre.fr/media/imgAuteur/004/cerdan_catalis.jpgDocument 2010 - De sa passion, Daniel Cerdan a fait son métier.

 

Membre du GIGN pendant quatorze ans, ce chevalier des temps modernes relate le quotidien de l'unité d'élite, les entraînements éprouvants, les opérations périlleuses comme la neutralisation d'Eloi Machoro en Nouvelle-Calédonie ou les prises d'otages mémorables. L'occasion aussi pour Daniel Cerdan de revenir sur la mort de son autorité, François de Grossouvre, le conseiller et ami du président Mitterrand, et de révéler ce qui s'est réellement passé le jour où il a constaté le décès de " FDG ", dans son bureau à l'Élysée.


Sortant de son devoir de réserve, l'auteur crie également sa colère. " Pour la première et la dernière fois! " Climat d'injustice et de mépris, comparatifs de salaires ahurissants... Un " deux poids deux mesures " inacceptable à l'annonce de la fusion police-gendarmerie. Avec ce témoignage alerte, truffé d'anecdotes, entre émotion et action, Daniel Cerdan nous invite à le suivre sous les dorures de la République, là où se sont joués quelques pans de l'Histoire...

 

Dans les coulisses du GIGN

Daniel Cerdan

Philippe Legorjus (Préfacier)

Broché

Paru le : 29/09/2010

Éditeur : Calmann-Lévy

 

 

L'auteur en quelques mots en 2010 ...

 

Daniel Cerdan a passé plus de trente ans au sein de la Grande Muette, dont quatorze au GIGN.

 

 

L'ancien garde du corps de Grossouvre confirme la thèse du suicide

publié le 16/10/2010 à 11:19

PARIS - François de Grossouvre, le conseiller de François Mitterrand retrouvé mort dans son bureau de l'Elysée en 1994 d'une balle dans la tête, s'est bien suicidé, affirme son ancien garde du corps dans un livre qui vient de paraître.

 

Daniel Cerdan a passé quatorze ans au Groupe d'intervention de la gendarmerie nationale (GIGN), dont onze affecté à la protection rapprochée de François de Grossouvre, qu'il raconte dans son livre "Dans les coulisses du GIGN" (Calmann-Lévy).

Pour ce sous-officier de gendarmerie, qui fut la première personne à entrer dans le bureau du conseiller de François Mitterrand, le 7 avril 1994 à 19h30, François de Grossouvre s'est bien donné la mort d'une balle de revolver 357 Magnum.

A l'appui de sa thèse, Daniel Cerdan cite le rapport du médecin, qui n'a relevé "aucune trace de violence, aucun hématome, excepté celui provoqué par le tir sur le corps". Quant à la luxation constatée sur l'épaule gauche de M. de Grossouvre, elle est due, selon son garde du corps, au recul de l'arme lors du tir qui l'a projeté contre la console téléphonique installée derrière lui.

La thèse du suicide est également défendue dans "Le dernier mort de Mitterrand" (Grasset/Albin Michel) de la journaliste Raphaëlle Bacqué paru au printemps. Cet ouvrage a suscité de nombreuses réactions de protestations de la famille de l'ex-conseiller de François Mitterrand, qui conteste la version du suicide.

www.lexpress.fr/actualites/1/l-ancien-garde-d...

 

 

 

Sur le site nonfiction

 

Le parcours et la rancœur d'un ancien du GIGN
[jeudi 17 février 2011 – 10:00]

http://www.nonfiction.fr/article-4255-le_parcours_et_la_rancur_dun_ancien_du_gign.htm

Partager cet article
Repost0
Pour être informé des derniers articles, inscrivez vous :